FEMUA 13 : La Culture sénégalaise à l’Honneur

FEMUA 13 : La Culture sénégalaise à l’Honneur Le Sénégal est sous le coup des projecteurs du 13eme festival des musiques urbaines d’Anoumabo (FEMUA) en Côte d’Ivoire. Notre pays est invité d’honneur de cette prestigieuse manifestation dont le promoteur est l’artiste et leader du groupe Magic System, Salif Traoré dit Asalfo. Abdoulaye Diop, ministre de la Culture et de la Communication conduit la délégation sénégalaise composée d’officiels et d’artistes. D’après Abdoulaye Diop, le choix de notre pays, est une preuve des liens solides et multiformes qui existent entre Dakar et Abidjan. Il a remercié l’engagement des organisateurs et des autorités ivoiriennes à faire de la participation du Sénégal une réussite. Le ministre a soutenu que le FEMUA est une occasion d’offrir une vitrine à tous les acteurs des arts d’exprimer leur talent et leur savoir-faire. La ministre ivoirienne de la Culture et de la Promotion de l’industrie du spectable des arts a loué le dynamisme de la coopération entre le Sénégal et la Côte d’Ivoire et salué la belle présence sénégalaise à cet important événement. Le promoteur et commissaire du FEMUA a indiqué que le démarrage de ce festival, marque par la même occasion la reprise des activités culturelles après la pause due à la Covid. Il a  remercié les autorités sénégalaises notamment le Président Macky Sall qui l’a reçu et apporté tout l’appui et le soutien nécessaire. Le FEMUA se tient  du 7 au 12 septembre. A l’occasion, les organisateurs vont mener une vaste campagne de sensibilisation sur la Covid 19 ainsi que des actions sociales avec la pause de la première pierre de deux écoles offertes gracieusement par la Fondation Magic System à l’Etat de Côte d’Ivoire. De nombreuses prestations sont au programme avec les artistes Pape Diouf, Ngaka Blindé, etc. et des panels et rencontres scientifiques sur le thème : » Alliance Afrique Europe : paix et développement ».

13ème FEMUA : le Sénégal fin prêt

13ème FEMUA : le Sénégal fin prêt Le ministre de la Culture et de la Communication, Abdoulaye Diop  conduira une forte délégation d’artistes et d’officiels au 13ème festival des musiques urbaines d’Anoumabo, prévu du 7 au 12 septembre 2021. En collaboration avec les artistes invités, le ministère a fait à la presse ce jeudi 02 septembre pour faire le point sur la participation de notre à ce grand rendez-vous musical. Les artistes avec comme tête d’affiche Pape Diouf ont promis de représenter dignement les couleurs nationales au FEMUA. Le Secrétaire général du Département a magnifié l’excellence des relations de coopération et les liens forts qui existent entre le Sénégal et la Côte d’Ivoire. Selon Habib Léon Ndiaye, notre pays va montrer son savoir-faire et sa culture dans toutes ses formes à l’occasion du festival d’Anoumabo, à savoir : la musique, le conte, le slam, etc. Les temps forts du programme sont la journée du 8 septembre dédiée au Sénégal, pays invité d’honneur et le grand concert qui sera animé par l’artiste Pape Diouf. Les interventions du Secrétaire Général et des artistes ont eu le don de rassurer le promoteur et commissaire du Festival, l’artiste Asalfo qui a tenu à être présent à la conférence de presse de Dakar. Je rappelle qu’en plus de Pape Diouf, on note la participation de Sidy Diop, Ngaka Blindé, la styliste Raby Selly Kane. La République sœur de Côte-d’Ivoire et les organisateurs du Festival des Musiques urbaines d’Anoumabo  (FEMUA) ont choisi le Sénégal comme pays invité d’honneur de cet événement culturel panafricain. Le FEMUA est le fruit d’un partenariat solide entre le gouvernement ivoirien et le groupe musical Magic System. Le FEMUA est l’un des plus grands événements des scènes africaines.  

Mémorial de Gorée : le projet entre dans sa phase active

Mémorial de Gorée : le projet entre dans sa phase active La concrétisation de l’un des projets culturels du Gouvernement à savoir la construction du Mémorial de Gorée est une préoccupation majeure du Chef de l’Etat. « Les travaux du Mémorial de Gorée vont démarrer très prochainement. Son Excellence Macky Sall le Président a reçu le mardi 18 Août 2021 l’architecte conseil venu spécialement d’Italie au mois de novembre pour lui présenter les études de faisabilité technique. Au-delà de sa dimension culturelle, le projet aura un impact économique important avec plus de 1000 emplois en vue.» selon le site officiel de la présidence de la République du Sénégal. Le ministre de la Culture et de la Communication, Abdoulaye Diop a pris part à cette rencontre. Le Mémorial de Gorée sera érigé sur la Corniche ouest de Dakar avec des espaces d’exposition, de salle de projection, de bureaux. Il sera un lieu d’hommage, de méditation et de réflexion.

Communiqué conjoint Direction de la Cinématographie/JAMRA/CDVM

Communiqué conjoint Direction de la Cinématographie/JAMRA/CDVM Le Directeur de la Cinématographie, Monsieur Germain COLY, a reçu en audience ce mardi 3 août 2021, à leur demande, une délégation de l’ONG islamique JAMRA et du Comité de défense des Valeurs morales (CDVM). L’ONG islamique JAMRA, représentée par Mame Mactar GUEYE, et ses partenaires du CDVM et de l’ONG Daral Qurane, représentés par M. Adama MBOUP, étaient venus faire part au Directeur de la Cinématographique de leurs préoccupations relativement aux dérives audiovisuelles récurrentes, à l’actif de certains producteurs de séries télévisées, dont certaines séquences heurtent régulièrement la sensibilité de l’opinion publique. L’ONG islamique JAMRA et ses alliés ont salué à sa juste valeur la mission avant-gardiste de la Direction nationale de la Cinématographie dans la sauvegarde, en amont, de nos valeurs socio-culturelles et dans le maintien de la performance de l’industrie cinématographique sénégalaise. Ils ont déploré qu’une nouvelle génération de producteurs s’active depuis un certain temps à créer des séries qui ne cessent de défrayer la chronique en suscitant de vives indignations dans l’opinion, relativement à leur excessive tendance au libertinage attentatoire à nos bonnes mœurs. Réitérant leur confiance à la Direction nationale de la Cinématographie, dont l’importance de la mission dans la protection de nos valeurs n’est plus à démontrer, JAMRA et ses alliés disent toujours compter sur la perspicacité des services de cette structure de veille, pour passer au crible les produits audiovisuels, dont la plupart qui ont eu à faire l’objet de leurs plaintes auprès du CNRA, font ouvertement la promotion de contre-valeurs, comme le défiance de l’autorité parentale, l’apologie de la fornication, la promotion de l’adultère, la banalisation de l’homosexualité, le tout sur fond de pornographie verbale. JAMRA et ses alliés ont exprimé à la Direction de la Cinématographie leur satisfaction de voir le Cinéma sénégalais constituer, dans le département de la Culture, le secteur le plus doté en textes législatifs et réglementaires, rehaussé par la performance d’un registre cinématographique national d’identification, à l’image de la base de données de l’État civil. Cette rencontre intervient suite aux dérives récentes constatées dans la production et la diffusion de films qui sont en déphasage avec nos valeurs culturelles. JAMRA et ses alliés ont demandé à la Direction de la Cinématographie de rappeler à l’ordre les producteurs de séries, qui violent les lois et règlements qui régissent ce secteur. Au terme de la rencontre, le Directeur de la Cinématographie a tenu à préciser  que conformément au Décret 2004-735 du 21 juin 2004 et à la loi 2002-18 du 15 avril 2002, il est fait obligation aux producteurs de soumettre à la Direction de la Cinématographie une demande d’autorisation préalablement aux tournages de films ou de séries télévisées. Étant entendu que la Direction de la Cinématographie peut s’opposer à un tournage de films ou de séries si dans le contenu du scénario des séquences sont susceptibles de porter atteinte : 1) à l’ordre public, 2) à la sécurité nationale (prises de vues de zones classées « secret défense »), 3) ou aux bonnes mœurs. Le cas échéant, l’autorisation de tournage pourrait être légalement refusée par la Direction de la Cinématographie. À moins que le scénario incriminé soit remanié. En vertu de ces dispositions réglementaires, régissant l’organisation des activités de production, d’organisation, de promotion cinématographique et audiovisuelle, l’absence de demande d’autorisation de tournage est passible d’une sanction pouvant aller de l’amende financière au retrait du produit. Rappelant au passage la substance de la note-circulaire N°352 que la Direction de la Cinématographie avait rendue publique par voie de presse le 08 septembre 2020, le directeur, M. COLY, a réaffirmé qu’il ne sera désormais toléré aucun tournage de film sans autorisation. Et a invité les producteurs et réalisateurs à déposer leurs dossiers de demande de tournage à la Direction de la Cinématographie au moins un mois avant le début du tournage. Et qu’en cas de violation de ces dispositions légales, ajoute la note-circulaire N°352, il sera procédé, en partenariat avec les forces de sécurité publique, à la saisie du matériel de tournage et des négatifs, assortie d’une amende de 3 à 10 millions de F CFA, pour le long-métrage ou la série. Et de 1 à 5 million de F CFA pour le court métrage. Les deux parties ont plaidé l’exigence, par les organes de diffusion, d’un quitus signé par la Direction de la Cinématographie avant d’accepter toute diffusion de films ou de séries sur leurs chaînes de télévision, ou en public, conformément à l’arrêté 004003/MC/DCI portant composition et mode de fonctionnement de la Commission nationale de contrôle et de classification de films cinématographiques. La Direction de la cinématographie, JAMRA et le CDVM ont convenu de tenir des rencontres régulières en vue d’échanger toujours davantage sur les problématiques du secteur, afin de solutionner en amont les malentendus qui ne peuvent manquer de surgir entre les acteurs de l’industrie cinématographique et audiovisuelle et ceux de la grande famille consumériste sénégalaise.   Fait à Dakar, le 05 Août 2021 Pour la Direction de la Cinématographie Germain Coly Pour JAMRA et Alliés Mame Mactar Guèye

Hommage aux artistes décédés en juillet 2021

Hommage aux artistes décédés en juillet 2021 Le monde des Arts et de la Culture a été durement éprouvé, pendant ce mois de juillet 2021, par une série de disparitions d’éminentes personnalités : Djiby NDIAYE, artiste plasticien licier, dépositaire d’une technique inédite de tissage sur des pagnes africains ; Djeynaba KANE, artiste comédienne de talent, membre de l’Association des Artistes Comédiens du Théâtre au Sénégal (ARCOTS) ; Demby FALL, monument de la scène théâtrale, icône légendaire et précurseur des dramatiques télévisées de notre pays ; enfin, Mabousso THIAM, un intellectuel engagé, un gestionnaire et talentueux musicien. Il a été la pièce maitresse de l’aboutissement de la réforme du Bureau sénégalais du Droit d’Auteur (BSDA), à travers le Projet de Promotion de l’Investissement Privé (PPIP) du programme d’appui à l’Industrie Musicale de la Banque Mondiale (PAIM) qu’il a piloté avec brio en Je partage, avec la famille des Arts et de la Culture, l’émotion profonde et la tristesse immense occasionnées par ces douloureux événements. Ces terribles nouvelles ont provoqué une onde de choc dans le milieu des Arts et de la Culture au moment où on constate la résurgence de la pandémie à travers le variant Delta. J’en appelle à la vigilance de tous. J’exprime, au nom du Président de la République, Son Excellence, Monsieur Macky SALL, du Gouvernement du Sénégal et en celui de la communauté artistique et culturelle, mes condoléances sincères aux familles éplorées et au peuple sénégalais.   Monsieur Abdoulaye DIOP Ministre de la Culture et de la Communication

Précisions du ministère de la Culture et de la Communication sur l’article de presse relatif au fonds Covid-19 paru dans le Journal LIBERATION

Précisions du ministère de la Culture et de la Communication sur l’article de presse relatif au fonds Covid-19paru dans le Journal LIBERATION C’est avec beaucoup d’étonnement que nous avons découvert, à la Une et à la page 5 du quotidien Libération, du jeudi 29 juillet 2021, des informations tendancieuses sur l’utilisation, par le ministère de la Culture et de la Communication, du Fonds Force Covid-19 destiné à la presse en 2020. En effet, le journal qui dit avoir exploité le rapport du Comité Fonds Force Covid ne s’est pas limité aux faits évoqués dans ce document. Il a également choisi, délibérément, de donner la parole à des acteurs bénéficiaires qui ont avancé des chiffres en contradiction avec les données officielles du rapport. A partir de ce moment, la version du ministère de la Culture et de la Communication s’imposait au journal pour respecter l’équilibre de l’information, un principe élémentaire en journalisme.  Ce qui n’a pas été fait malheureusement. Pour rétablir la réalité des faits, nous tenons, d’abord, à rappeler que pour l’année 2020, marquée par un contexte économique difficile dû à la pandémie de la Covid-19, le Président de la République a mis en place un Fonds pour venir en aide aux populations et aux différents secteurs économiques. C’est ainsi que la subvention destinée à la presse a été doublée, passant de sept cent millions (700 000 000) à un milliard quatre cent millions (1 400 000 000) F CFA. Ce montant était constitué, à parts égales, de l’aide annuelle à la presse (700 000 000 F CFA) et de la contribution du Fonds Force Covid-19 (700 000 000 F CFA). L’enveloppe globale de 1 400 000 000 F CFA a été répartie au même moment, ce qui a doublé ou même triplé les montants pour certains organes ou groupes de presse, en 2020, par rapport à 2019. Ainsi, le Groupe D Média, qui a bel et bien retiré son chèque, contrairement à ce que Libération a rapporté, s’est retrouvé avec 30 000 000 F Cfa contre 15 000 000 F CFA en 2019, Le Soleil est passé de 15 millions à 35 millions F CFA, 3 M Universal (7 TV) de 06 millions à 15 millions F CFA, Libération de 13 millions à 20 millions F CFA, Le Groupe Walfadjri, de 18 millions à 30 millions, l’Agence de Presse sénégalaise (APS) de 40 millions à 55 millions F CFA et E-média, qui, en 2019, venait d’être lancé, de 05 millions à 15 millions, etc., pour ne citer que les entités évoquées dans l’article. S’agissant du cas spécifique de Africom (Stades et Sunu Lamb), son montant est passé de 11 millions à 20 millions F CFA, malgré sa contribution quasi inexistante dans la lutte contre la pandémie, du fait de la nature thématique orientée exclusivement vers le sport. Les décharges dûment signées par les bénéficiaires sont disponibles et vérifiables.

FDCU : 201 projets financés pour plus de 400 millions de F CFA

FDCU : 201 projets financés pour plus de 400 millions de F CFA Dans le cadre de l’appel à candidatures du Fonds de Développement des Cultures Urbaines (FDCU) lancé le 30 décembre 2020, le Comité de lecture, en sa séance du 19 mai 2021, a sélectionné et transmis au Comité de gestion, pour évaluation, une liste de projets éligibles que ce dernier a étudiée au cours de sa réunion tenue le vendredi 16 juillet 2021 au Ministère de la Culture et de la Communication. Les requêtes avaient trait à l’évènementiel, la production, la structuration, la diffusion, la mobilité artistique, la création et la formation. Il ressort du rapport d’évaluation du Comité de Lecture que trois cent vingt-deux (322) dossiers reçus des différentes régions du pays ont été, rigoureusement, analysés à l’aune de critères objectifs que sont : les références du porteur de projet dans le domaine des cultures urbaines, la pertinence du projet, la qualité du contenu artistique, les résultats attendus et l’impact du projet au plan culturel, économique et social, la cible et la mise en perspective du projet. A l’issue de la délibération du comité de gestion, deux cent un (201) projets éligibles, soit 62,42 %, couvrant toutes les régions, ont été retenus pour recevoir des subventions allant de 1,5 à 7millions de F CFA, soit une enveloppe d’un montant global de quatre cent quatre-vingt-dix-sept millions deux cent cinquante mille francs (497.250.000F) CFA. Dans un souci de promotion de la qualité, le système de notation, mis en place, a permis de ne proposer au financement que les demandes frappées du sceau de l’excellence et prenant en compte la structuration du secteur et la promotion de l’emploi des jeunes. Les bénéficiaires seront informés par la Direction des Arts des modalités pratiques de mise à disposition des subventions. Le Ministre de la Culture et de la Communication     Liste des bénéficiaires du FDCU:        

Communiqué-FADP

Communiqué conjoint Fonds d’Appui et de Développement de la Presse Cliquez ici: Communiqué Conjoint FADP

Le Théâtre Sorano célèbre son 56ème Anniversaire

Le Théâtre Sorano célèbre son 56ème Anniversaire La Compagnie du Théâtre national Daniel Sorano célèbre cette année son 56ème anniversaire. Le temple mythique de la culture sénégalaise a été inauguré officiellement le 17 juillet 1965 par le premier Président de la République Léopold Sédar Senghor, soit un an avant la tenue du 1er Festival mondial des Arts nègres. Depuis, Sorano a vécu les moments les plus intenses et les plus mémorables de la politique de promotion et de diffusion de la diversité culturelle du pays. Plusieurs activités sont prévues pour marquer cet anniversaire dont une table ronde sur le thème « le Théâtre Sorano dans l’histoire de la scène culturelle sénégalaise » ainsi que le lancement de la deuxième phase du programme « Sorano jaar jaar ak jaloré » de la saison artistique en cours selon un communiqué de presse de la direction de la compagnie du théâtre. Le Théâtre Daniel Sorano a une salle d’une capacité de plus de 1 000 spectateurs. Il comprend l’Ensemble national de Ballet, la Troupe nationale dramatique et l’Ensemble lyrique traditionnel.

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