Mémorial de Gorée : le projet entre dans sa phase active

Mémorial de Gorée : le projet entre dans sa phase active La concrétisation de l’un des projets culturels du Gouvernement à savoir la construction du Mémorial de Gorée est une préoccupation majeure du Chef de l’Etat. « Les travaux du Mémorial de Gorée vont démarrer très prochainement. Son Excellence Macky Sall le Président a reçu le mardi 18 Août 2021 l’architecte conseil venu spécialement d’Italie au mois de novembre pour lui présenter les études de faisabilité technique. Au-delà de sa dimension culturelle, le projet aura un impact économique important avec plus de 1000 emplois en vue.» selon le site officiel de la présidence de la République du Sénégal. Le ministre de la Culture et de la Communication, Abdoulaye Diop a pris part à cette rencontre. Le Mémorial de Gorée sera érigé sur la Corniche ouest de Dakar avec des espaces d’exposition, de salle de projection, de bureaux. Il sera un lieu d’hommage, de méditation et de réflexion.

Communiqué conjoint Direction de la Cinématographie/JAMRA/CDVM

Communiqué conjoint Direction de la Cinématographie/JAMRA/CDVM Le Directeur de la Cinématographie, Monsieur Germain COLY, a reçu en audience ce mardi 3 août 2021, à leur demande, une délégation de l’ONG islamique JAMRA et du Comité de défense des Valeurs morales (CDVM). L’ONG islamique JAMRA, représentée par Mame Mactar GUEYE, et ses partenaires du CDVM et de l’ONG Daral Qurane, représentés par M. Adama MBOUP, étaient venus faire part au Directeur de la Cinématographique de leurs préoccupations relativement aux dérives audiovisuelles récurrentes, à l’actif de certains producteurs de séries télévisées, dont certaines séquences heurtent régulièrement la sensibilité de l’opinion publique. L’ONG islamique JAMRA et ses alliés ont salué à sa juste valeur la mission avant-gardiste de la Direction nationale de la Cinématographie dans la sauvegarde, en amont, de nos valeurs socio-culturelles et dans le maintien de la performance de l’industrie cinématographique sénégalaise. Ils ont déploré qu’une nouvelle génération de producteurs s’active depuis un certain temps à créer des séries qui ne cessent de défrayer la chronique en suscitant de vives indignations dans l’opinion, relativement à leur excessive tendance au libertinage attentatoire à nos bonnes mœurs. Réitérant leur confiance à la Direction nationale de la Cinématographie, dont l’importance de la mission dans la protection de nos valeurs n’est plus à démontrer, JAMRA et ses alliés disent toujours compter sur la perspicacité des services de cette structure de veille, pour passer au crible les produits audiovisuels, dont la plupart qui ont eu à faire l’objet de leurs plaintes auprès du CNRA, font ouvertement la promotion de contre-valeurs, comme le défiance de l’autorité parentale, l’apologie de la fornication, la promotion de l’adultère, la banalisation de l’homosexualité, le tout sur fond de pornographie verbale. JAMRA et ses alliés ont exprimé à la Direction de la Cinématographie leur satisfaction de voir le Cinéma sénégalais constituer, dans le département de la Culture, le secteur le plus doté en textes législatifs et réglementaires, rehaussé par la performance d’un registre cinématographique national d’identification, à l’image de la base de données de l’État civil. Cette rencontre intervient suite aux dérives récentes constatées dans la production et la diffusion de films qui sont en déphasage avec nos valeurs culturelles. JAMRA et ses alliés ont demandé à la Direction de la Cinématographie de rappeler à l’ordre les producteurs de séries, qui violent les lois et règlements qui régissent ce secteur. Au terme de la rencontre, le Directeur de la Cinématographie a tenu à préciser  que conformément au Décret 2004-735 du 21 juin 2004 et à la loi 2002-18 du 15 avril 2002, il est fait obligation aux producteurs de soumettre à la Direction de la Cinématographie une demande d’autorisation préalablement aux tournages de films ou de séries télévisées. Étant entendu que la Direction de la Cinématographie peut s’opposer à un tournage de films ou de séries si dans le contenu du scénario des séquences sont susceptibles de porter atteinte : 1) à l’ordre public, 2) à la sécurité nationale (prises de vues de zones classées « secret défense »), 3) ou aux bonnes mœurs. Le cas échéant, l’autorisation de tournage pourrait être légalement refusée par la Direction de la Cinématographie. À moins que le scénario incriminé soit remanié. En vertu de ces dispositions réglementaires, régissant l’organisation des activités de production, d’organisation, de promotion cinématographique et audiovisuelle, l’absence de demande d’autorisation de tournage est passible d’une sanction pouvant aller de l’amende financière au retrait du produit. Rappelant au passage la substance de la note-circulaire N°352 que la Direction de la Cinématographie avait rendue publique par voie de presse le 08 septembre 2020, le directeur, M. COLY, a réaffirmé qu’il ne sera désormais toléré aucun tournage de film sans autorisation. Et a invité les producteurs et réalisateurs à déposer leurs dossiers de demande de tournage à la Direction de la Cinématographie au moins un mois avant le début du tournage. Et qu’en cas de violation de ces dispositions légales, ajoute la note-circulaire N°352, il sera procédé, en partenariat avec les forces de sécurité publique, à la saisie du matériel de tournage et des négatifs, assortie d’une amende de 3 à 10 millions de F CFA, pour le long-métrage ou la série. Et de 1 à 5 million de F CFA pour le court métrage. Les deux parties ont plaidé l’exigence, par les organes de diffusion, d’un quitus signé par la Direction de la Cinématographie avant d’accepter toute diffusion de films ou de séries sur leurs chaînes de télévision, ou en public, conformément à l’arrêté 004003/MC/DCI portant composition et mode de fonctionnement de la Commission nationale de contrôle et de classification de films cinématographiques. La Direction de la cinématographie, JAMRA et le CDVM ont convenu de tenir des rencontres régulières en vue d’échanger toujours davantage sur les problématiques du secteur, afin de solutionner en amont les malentendus qui ne peuvent manquer de surgir entre les acteurs de l’industrie cinématographique et audiovisuelle et ceux de la grande famille consumériste sénégalaise.   Fait à Dakar, le 05 Août 2021 Pour la Direction de la Cinématographie Germain Coly Pour JAMRA et Alliés Mame Mactar Guèye

Hommage aux artistes décédés en juillet 2021

Hommage aux artistes décédés en juillet 2021 Le monde des Arts et de la Culture a été durement éprouvé, pendant ce mois de juillet 2021, par une série de disparitions d’éminentes personnalités : Djiby NDIAYE, artiste plasticien licier, dépositaire d’une technique inédite de tissage sur des pagnes africains ; Djeynaba KANE, artiste comédienne de talent, membre de l’Association des Artistes Comédiens du Théâtre au Sénégal (ARCOTS) ; Demby FALL, monument de la scène théâtrale, icône légendaire et précurseur des dramatiques télévisées de notre pays ; enfin, Mabousso THIAM, un intellectuel engagé, un gestionnaire et talentueux musicien. Il a été la pièce maitresse de l’aboutissement de la réforme du Bureau sénégalais du Droit d’Auteur (BSDA), à travers le Projet de Promotion de l’Investissement Privé (PPIP) du programme d’appui à l’Industrie Musicale de la Banque Mondiale (PAIM) qu’il a piloté avec brio en Je partage, avec la famille des Arts et de la Culture, l’émotion profonde et la tristesse immense occasionnées par ces douloureux événements. Ces terribles nouvelles ont provoqué une onde de choc dans le milieu des Arts et de la Culture au moment où on constate la résurgence de la pandémie à travers le variant Delta. J’en appelle à la vigilance de tous. J’exprime, au nom du Président de la République, Son Excellence, Monsieur Macky SALL, du Gouvernement du Sénégal et en celui de la communauté artistique et culturelle, mes condoléances sincères aux familles éplorées et au peuple sénégalais.   Monsieur Abdoulaye DIOP Ministre de la Culture et de la Communication

Précisions du ministère de la Culture et de la Communication sur l’article de presse relatif au fonds Covid-19 paru dans le Journal LIBERATION

Précisions du ministère de la Culture et de la Communication sur l’article de presse relatif au fonds Covid-19paru dans le Journal LIBERATION C’est avec beaucoup d’étonnement que nous avons découvert, à la Une et à la page 5 du quotidien Libération, du jeudi 29 juillet 2021, des informations tendancieuses sur l’utilisation, par le ministère de la Culture et de la Communication, du Fonds Force Covid-19 destiné à la presse en 2020. En effet, le journal qui dit avoir exploité le rapport du Comité Fonds Force Covid ne s’est pas limité aux faits évoqués dans ce document. Il a également choisi, délibérément, de donner la parole à des acteurs bénéficiaires qui ont avancé des chiffres en contradiction avec les données officielles du rapport. A partir de ce moment, la version du ministère de la Culture et de la Communication s’imposait au journal pour respecter l’équilibre de l’information, un principe élémentaire en journalisme.  Ce qui n’a pas été fait malheureusement. Pour rétablir la réalité des faits, nous tenons, d’abord, à rappeler que pour l’année 2020, marquée par un contexte économique difficile dû à la pandémie de la Covid-19, le Président de la République a mis en place un Fonds pour venir en aide aux populations et aux différents secteurs économiques. C’est ainsi que la subvention destinée à la presse a été doublée, passant de sept cent millions (700 000 000) à un milliard quatre cent millions (1 400 000 000) F CFA. Ce montant était constitué, à parts égales, de l’aide annuelle à la presse (700 000 000 F CFA) et de la contribution du Fonds Force Covid-19 (700 000 000 F CFA). L’enveloppe globale de 1 400 000 000 F CFA a été répartie au même moment, ce qui a doublé ou même triplé les montants pour certains organes ou groupes de presse, en 2020, par rapport à 2019. Ainsi, le Groupe D Média, qui a bel et bien retiré son chèque, contrairement à ce que Libération a rapporté, s’est retrouvé avec 30 000 000 F Cfa contre 15 000 000 F CFA en 2019, Le Soleil est passé de 15 millions à 35 millions F CFA, 3 M Universal (7 TV) de 06 millions à 15 millions F CFA, Libération de 13 millions à 20 millions F CFA, Le Groupe Walfadjri, de 18 millions à 30 millions, l’Agence de Presse sénégalaise (APS) de 40 millions à 55 millions F CFA et E-média, qui, en 2019, venait d’être lancé, de 05 millions à 15 millions, etc., pour ne citer que les entités évoquées dans l’article. S’agissant du cas spécifique de Africom (Stades et Sunu Lamb), son montant est passé de 11 millions à 20 millions F CFA, malgré sa contribution quasi inexistante dans la lutte contre la pandémie, du fait de la nature thématique orientée exclusivement vers le sport. Les décharges dûment signées par les bénéficiaires sont disponibles et vérifiables.

FDCU : 201 projets financés pour plus de 400 millions de F CFA

FDCU : 201 projets financés pour plus de 400 millions de F CFA Dans le cadre de l’appel à candidatures du Fonds de Développement des Cultures Urbaines (FDCU) lancé le 30 décembre 2020, le Comité de lecture, en sa séance du 19 mai 2021, a sélectionné et transmis au Comité de gestion, pour évaluation, une liste de projets éligibles que ce dernier a étudiée au cours de sa réunion tenue le vendredi 16 juillet 2021 au Ministère de la Culture et de la Communication. Les requêtes avaient trait à l’évènementiel, la production, la structuration, la diffusion, la mobilité artistique, la création et la formation. Il ressort du rapport d’évaluation du Comité de Lecture que trois cent vingt-deux (322) dossiers reçus des différentes régions du pays ont été, rigoureusement, analysés à l’aune de critères objectifs que sont : les références du porteur de projet dans le domaine des cultures urbaines, la pertinence du projet, la qualité du contenu artistique, les résultats attendus et l’impact du projet au plan culturel, économique et social, la cible et la mise en perspective du projet. A l’issue de la délibération du comité de gestion, deux cent un (201) projets éligibles, soit 62,42 %, couvrant toutes les régions, ont été retenus pour recevoir des subventions allant de 1,5 à 7millions de F CFA, soit une enveloppe d’un montant global de quatre cent quatre-vingt-dix-sept millions deux cent cinquante mille francs (497.250.000F) CFA. Dans un souci de promotion de la qualité, le système de notation, mis en place, a permis de ne proposer au financement que les demandes frappées du sceau de l’excellence et prenant en compte la structuration du secteur et la promotion de l’emploi des jeunes. Les bénéficiaires seront informés par la Direction des Arts des modalités pratiques de mise à disposition des subventions. Le Ministre de la Culture et de la Communication     Liste des bénéficiaires du FDCU:        

Communiqué-FADP

Communiqué conjoint Fonds d’Appui et de Développement de la Presse Cliquez ici: Communiqué Conjoint FADP

Le Théâtre Sorano célèbre son 56ème Anniversaire

Le Théâtre Sorano célèbre son 56ème Anniversaire La Compagnie du Théâtre national Daniel Sorano célèbre cette année son 56ème anniversaire. Le temple mythique de la culture sénégalaise a été inauguré officiellement le 17 juillet 1965 par le premier Président de la République Léopold Sédar Senghor, soit un an avant la tenue du 1er Festival mondial des Arts nègres. Depuis, Sorano a vécu les moments les plus intenses et les plus mémorables de la politique de promotion et de diffusion de la diversité culturelle du pays. Plusieurs activités sont prévues pour marquer cet anniversaire dont une table ronde sur le thème « le Théâtre Sorano dans l’histoire de la scène culturelle sénégalaise » ainsi que le lancement de la deuxième phase du programme « Sorano jaar jaar ak jaloré » de la saison artistique en cours selon un communiqué de presse de la direction de la compagnie du théâtre. Le Théâtre Daniel Sorano a une salle d’une capacité de plus de 1 000 spectateurs. Il comprend l’Ensemble national de Ballet, la Troupe nationale dramatique et l’Ensemble lyrique traditionnel.

Clap Ivoire 2021 : 02 films sénégalais à l’affiche

Clap Ivoire 2021 : 02 films sénégalais à l’affiche Tang Jër et Le temps de dire Non sont les films sélectionnés pour représenter le Sénégal à la 21ème édition du concours Clap Ivoire, prévue du 06 au 10 septembre 2021 à Abidjan en Côte d’Ivoire. Le jury national du Sénégal a pris cette décision lors d’une séance tenue le jeudi 8 juillet 2021 dans les locaux du FOPICA. Tang Jër, une fiction de Selly Raby Kane,  a été retenue par le jury pour son originalité, les qualités esthétiques et techniques de la démarche de réalisation et surtout, de direction  d’acteurs. Le film raconte l’histoire d’Onfaaya, un tenancier de tangana (restaurant populaire) atypique qui observe le ballet incessant des êtres presque surréels qui peuplent la ville de Dakar. Le temps de dire Non, un documentaire de El Hadji Demba DIA a retenu l’attention des membres du jury pour la rigueur de sa démarche artistique et surtout la poétique de l’espace qui confère une haute qualité esthétique au film. Dans ce film documentaire, le réalisateur met en scène la ville de Bargny avec ses nombreux problèmes relatifs à la pollution et les menaces liées à l’avancée de la mer au niveau de cette zone de pêche.

Abdoulaye DIOP reçoit la presse culturelle

Abdoulaye DIOP reçoit la presse culturelle Monsieur Abdoulaye Diop, ministre de la Culture et de la Communication a reçu le mercredi 7 juillet le bureau de l’Association nationale de la presse culturelle du Sénégal (ANPCS), conduite par son président Ndatté Diop. Au nom de sa structure, Ndatté Diop a salué les bonnes relations de partenariat et de collaboration avec le ministère avant de décliner la feuille de route que le nouveau bureau compte mettre en œuvre dans les mois à venir. Il a plaidé auprès du ministre, une plus grande implication de la presse culturelle dans les activités et événements du ministère. Le ministre de la Culture et de la Communication qui a reçu des mains du président de l’ANPCS sa carte de membre d’honneur, a remis une enveloppe de cinq cent mille francs en guise de soutien au bureau de l’Association. Monsieur Abdoulaye Diop s’est réjoui de cette rencontre et salué le travail énorme des journalistes culturels pour le rayonnement du secteur de la culture. Il a exhorté la presse culturelle à élever et traiter l’information culturelle à la hauteur du bouillonnement de la vie culturelle et artistique dans le pays.      

FESPACO 2021 : La 27e édition placée sous le sceau de la Téranga sénégalaise

FESPACO 2021 : La 27e édition placée sous le sceau de la Téranga sénégalaise La 27ème  édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO) prévue du 16 au 23 octobre a été lancée le mardi 29 juin 2021, à Dakar. L’événement cinématographique dont le Sénégal est pays invité d’honneur, est placé sous le cachet de la Téranga, a dit le ministre de la Culture et de la Communication, Abdoulaye Diop. Il a présidé la cérémonie de lancement au Musée des civilisations noires à côté de son homologue du Burkina Faso Elise Thiombiano Ilboudo et du délégué général Alex Moussa Sawadogo. Le Sénégal va s’investir pour que la fête soit la plus belle possible, a assuré Abdoulaye Diop. « Le Burkina Faso nous met ainsi à ses côtés pour accueillir les hôtes du FESPACO, à nous convertir en organisateurs et à donner à cette édition le cachet de la téranga et à nous investir pour que la fête soit plus belle que toutes », dit-il. Le Sénégal sera présent à la mesure de l’immense honneur qui est fait au président Macky Sall’’, ajoute Diop.   http://www.culture.gouv.sn/wp-content/uploads/2021/07/FESPACO-2021-Senegal-pays-invite-Dhonneur.mp4 Source: Agence de Presse Sénégalaise APS

Patrimoine immatériel : 59 nouvelles expressions inscrites sur la liste nationale

Patrimoine immatériel : 59 nouvelles expressions inscrites sur la liste nationale Le Sénégal a inscrit 59 nouvelles expressions sur sa liste nationale du patrimoine culturel immatériel avec la participation des communautés dépositaires dans les 14 régions du pays. Cet inventaire pilote, réalisé à partir de 2016 avec l’appui de l’UNESCO, a été restitué le mardi 29 juin 2021, lors d’une cérémonie au Musée des civilisations noires en présence du ministre de la Culture et de la Communication, Abdoulaye Diop.  Parmi les nouvelles expressions figurent entre autres, le ‘’Tuuru Maam Njaré’’, un rite dédié au génie tutélaire de la mer chez les Lébou de Yoff à Dakar, le ‘’Xaxaar’’, cérémonie festive d’accueil des nouvelles mariées en milieu wolof à Diourbel, le ‘’Prim’’, une danse des grands lutteurs sérères. «Nous avons le devoir historique de contribuer à la survie et à la sauvegarde des valeurs culturelles’’, a souligné le ministre de la Culture en rappelant que le patrimoine culturel immatériel permet aux terroirs de se reconnaître dans leur passé pour aller vers un développement local durable.

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